« Love, Theoretically » est le dernier roman de Ali Hazelwood, et il m’a totalement conquise. Cette romance, comme les précédents titres de l’autrice, se distingue par son cadre original dans le monde scientifique, un milieu où les défis sont nombreux, surtout lorsqu’on est une femme.
L’histoire suit Elsie, une physicienne ionnée et déterminée, qui peine à trouver un poste stable dans le monde académique. Pour dre les deux bouts, elle devient « fausse petite amie » à louer, un job qui l’amène à croiser Jack, un professeur charismatique et mystérieux. Leur rencontre marque le début d’une relation complexe, pleine de quiproquos, d’attirance et de découvertes personnelles.
A nouveau, j’ai particulièrement apprécié, la manière dont l’autrice aborde les difficultés rencontrées par les femmes et les minorités dans le monde de la science.
Elsie est un personnage dans lequel je me suis immédiatement reconnue : elle est intelligente, pleine d’humour, mais aussi vulnérable. Elle m’a beaucoup touché, en particulier dans sa quête de reconnaissance. Son évolution au fil du récit est inspirante, et sa relation avec Jack apporte une dimension encore plus humaine à l’histoire.
Quant à Jack, il incarne, à mon sens, le parfait « bookboyfriend » : attentionné, intelligent, avec ce petit côté ténébreux qui le rend irrésistible. Leur alchimie est palpable et rend la lecture encore plus addictive.
« Love, Theoretically » et les autres titres de l’autrice sont des livres que l’on lit avec un sourire niais aux lèvres. Ce sont des histoires qui font soupirer, car même si elles sont prévisibles, elles mettent du baume au cœur et des papillons dans le ventre.
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