La danse apprise chez les plus jeunes c’est violent. J’ai l’impression qu’on prend des personnes, on les compresse on les étire et comme ça on va les montrer ensuite, anonymisées, pour se faire applaudir à l’opéra (enfin, « on »… un on pas très large quoi). Cette oeuvre parle de ça je trouve. De l’anonymat, de la violence sur des corps fragiles. Malgré l’histoire racontée qui se veut un peu plus complexe, je ne vois que ça : des corps d’enfants martyrisés par des adultes pensant être des spécialistes