La Hammer avait déjà fait le coup de la messe noire pour ressusciter le vampire dans Une messe pour Dracula (1970). Le transporter dans les années 1970 était une bonne idée. Hélas cela n'est jamais vraiment exploité, sinon dans la forme (musique psychédélique, jeunes au look de Rolling Stones, décors pop). L'intrigue policière autour des meurtres est vraiment mollassonne.
Si je suis content de revoir Peter Cushing dont la dernière apparition dans la saga en Van Helsing remonte aux Maîtresses de Dracula (1960), Christopher Lee comme dans les derniers opus fait vraiment fatigué. Je reconnais en revanche avoir apprécié la performance de Christopher Neame en discipline du vampire. Le reste de la distribution est assez oubliable.