« What Remains of Edith Finch » est un walking simulator qui se distingue de la concurrence par l'ingéniosité de sa narration et de sa mise en scène. Toutes ces excellentes idées savamment retranscrites en jeu auraient néanmoins été encore plus efficaces au service d'une expérience plus libre au sein de la (trop) vaste et (trop) étrange propriété des Finch, et d'une histoire moins tirée par les cheveux. La funeste famille Finch aurait aussi gagné à être plus aimable dans son ensemble pour susciter davantage de comion de la part du joueur au sein du drame qu'elle traverse depuis des générations. En ce qui me concerne, difficile de ne percevoir en eux dans l'ensemble autre chose qu'une misérable bande de paumés comme seule l'éducation nouvelle peut en produire.
Points positifs :
- Storytelling puissant
- La part de mystère qui demeure
- Bande-son soignée...
Points négatifs :
- ... mais un peu trop larmoyante dans son ensemble
- Trop linéaire et dirigiste
- Visuellement assez daté
- Une surenchère générale qui fait perdre en crédibilité
Créée
le 15 avr. 2025
Critique lue 9 fois
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Parlons échange équivalent. Au royaume des walking simulators, il y a ceux qui voudraient, vraiment, de tout leur coeur, mais qui n'ont pas l'étoffe, et ceux qui ne se contentent ni de vouloir, ni de...
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le 8 mai 2017
29 j'aime
10
Bon je ne voulais pas "jouer" à ce "jeu", mais vu que Epic l'offrait (en échange bien entendu de l'installation de leur magnifique magasin dans lequel on peut dépenser nos soussous ne soyons pas...
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le 16 janv. 2019
19 j'aime
14
Jouer à What Remains of Edith Finch m’a fait du bien. Déjà d’un point de vue personnel, puisque je traversais une phase d’épuisement vidéo-ludique à m’acharner sur un Persona 5 excellent mais trop...
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le 18 avr. 2018
17 j'aime
7
Encore un """biopic""" qui e à côté de son sujet et qui explique au spectateur, à grand renfort de pathos, d'avantage comment le protagoniste principal a fondé sa famille que comment il a fondé...
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le 3 sept. 2020
6 j'aime
1
« Parker Lewis ne perd jamais » est le pur fruit d’une époque : véritable caricature des années « lycée » américaines de la fin des eighties, la série a su s’imposer par son cocktail efficace de...
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le 29 nov. 2014
6 j'aime
1
« Bah écoutez... J'ai écouté l’homélie du père Dontnod et je suis encore un peu ébloui... Y'a les méchants et les gentils. Y'a les vilains qui veulent la pureté, la purification, l'horreur, quasiment...
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le 23 mai 2021
5 j'aime
