Gerardmer 2023

Annotation :

Film d'ouverture que je n'aurais pas mis au programme s'il y avait eu une autre séance face à lui. Comme prévu : c'est sans originalité, et en plus c'est assez débile.

Annotation :

Il était dans mes envies depuis plusieurs années, j'ai profité de la rétrospective Balaguero pour le voir, et c'est peut-être bien le film que j'ai préféré cette année. C'est prenant, le personnage principal est suffisamment bien présenté pour qu'on ait envie de connaitre la suite de l'histoire, c'est bien joué et bien filmé.

Annotation :

C'est beaucoup trop lent et très mou. Dommage, le sujet de base avait de quoi me plaire, mais c'était trop contemplatif pour retenir mon attention. Des jolis plans sur la nature mais j'aurais aimé que l'histoire décolle à un moment.

Annotation :

Un thriller très propre, avec quelques scènes bien exécutées (notamment le retour à la maison en pleine nuit d'une femme en talons hauts, seule dans les rues de la ville et dans le métro, rendant parfaitement la tension qu'il peut exister à ce moment-là). Mais ça sera sûrement assez vite oublié. Je garde quand même un œil sur ce que fera Chloé Okuno dans le futur.

Annotation :

Des thématiques me parlant très fort et une exécution parfaitement maitrisée, des scènes creepy que je garderai en tête et une actrice qui fait très bien le taff. C'est sûrement mon coup de cœur de cette édition.

Annotation :

Rah. J'aurais aimé l'aimer.
Plein d'idées sont balancées dans ce scénario, qui aurait peut-être gagné à être réalisé en format série. Mais en 90 min, l'écriture des personnages est bâclée, les enjeux ne sont pas toujours très clairs. Ajoutez à ça que les scènes d'action sont ratées et qu'il y a de grosses erreurs de cohérence (il va falloir intégrer, en 2023, que l'élevage d'animaux de chair en huis clos sans lumière du soleil n'est PAS viable).
C'est français, ça a le mérite d'essayer. Mais The Divide a fait mieux pour la tension long-terme d'un huis clos, et La Horde delivers sur les scènes d'action, contrairement à La Tour. C'est dommage.
Mais gros coup de cœur sur Angèle Mac.

Annotation :

J'ai profité du festival pour le revoir 15 ans après mon premier visionnage. Et j'aurais dû rester sur ma première impression : il m'a beaucoup moins enthousiasmée que la première fois, j'ai même piqué du nez. C'est long et redondant, en fait.

Annotation :

Le risque était d'avoir trop de folklore chamanique philippin, et j'ai trouvé que c'était juste la bonne dose. Les actrices sont excellentes et le film se tient très bien, j'ai é un bon moment. Mais je n'en garderai pas beaucoup de souvenirs dans quelques mois.

Annotation :

Un docu sympa sur les adaptations ciné des livres de Stephen King, avec quelques anecdotes intéressantes, mais pas non plus le docu du siècle.

Annotation :

J'adhère au propos général (à mort les boomers !). Mais la forme est tellement énervante que je n'ai pas réussi à apprécier le film : c'est mal dirigé, assez mal écrit, extrêmement mal sonorisé (les violons crissants pour des scènes même pas angoissantes), et ça tombe plutôt à plat.

Annotation :

Le gros hype de ce festival (Balaguero quoi), et c'était un pétard mouillé. Pas vraiment de tension, des scènes d'horreur loin du génie de [REC], un scenario pas hyper convaincant et une héroïne pas particulièrement attachante. Comme c'était le risque, j'ai été déçue.

Annotation :

Ma première nuit décalée en 15 ans ! Bon, j'aurais mieux fait d'aller me coucher : j'ai dormi au bout de 10 min (une fois que Goat Peter disparait, quel intérêt ?).

Annotation :

C'est un peu trop long/contemplatif pour moi, même si les plans sont jolis. J'ai bien aimé le héros, intelligemment écrit et interprété avec justesse par Thomas Salvador. Les créatures sont sobres et mignonnes. Et le message est doux. Un des films que je retiendrai de cette sélection.

Annotation :

Un film pop corn qui se tient très bien tel quel, même si je soupçonne (espère ?) une deuxième lecture plus maline, que je n'ai pas vraiment réussi à faire. La petite fille est attachante, les papas sont fadasses, et les home invaders sont inégaux (Bautista est super charismatique, les autres sont assez oubliables).