Ça se lit vite et bien, c'est certain ; ça fait un petit peu réfléchir... Mais pas trop non plus car à moins d'être, comme l'auditoire auquel s'adresse Foster Wallace, un(e) étudiant(e) à l'orée de sa vie active, on a déjà réfléchi à ces questions et probablement atteint les mêmes conclusions. S'il n'évoquait pas le suicide alors que DFW era à l'acte quelques années plus tard, je ne suis pas certaine que ce discours aurait été publié.
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le 8 avr. 2016
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le 8 avr. 2016
Petit livre discours lors d'une remise de diplôme de Wallace qui se lit très très rapidement. Un ton parfois glacial, souvent réaliste, et qui frôle un genre de vérité que l'on aime se voir...
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le 20 juin 2014
Dans ce roman protéiforme, paru en 1964 et symbolique de l'esprit beatnik duquel pourtant Richard Brautigan restait en marge, l'imagination comme les hommes se laissent libre cours. Personnages...
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le 31 août 2011
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Le début se lit et se suit comme une série télévisée contemporaine, avec gourmandise. Puis on se laisse rattraper par les différences d'époque, pour finir le livre en se disant qu'Anna est une petite...
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le 25 juil. 2012
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C'est vrai qu'il y a du cliché, que le déroulement de la thérapie ne fait pas réaliste (mais franchement, à moins de suivre les séances du début à la fin, comment le pourrait-elle ?), que c'est un...
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le 9 juin 2013
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