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24 se démarque par un traitement nouveau de la temporalité dans le récit épisodique ainsi qu'un sens de la narration particulièrement percutant et direct, probablement inédit en TV. En ce sens, on peut dire que la première saison a contribué à la réforme de la fiction télévisée de la fin 90/début 2000. Si les saisons 2 et 3 constituent à mon sens l'apogée de la série en termes de rythme et de narration, la suite n'est qu'un long déclin vers les abysses du formatage désubstantialisé. Une série qui malgré tout, à l'image de son héros, aura compté au cours de la dernière décennie.
Créée
le 17 nov. 2010
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