La saucisse
Cette phrase devenu culte du JDG qui s'applique à grand nombre d'oeuvres sud-coréenne depuis quelques temps est particulièrement lassant. Cette série est ringard, ridicule, incohérente et la bonne...
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le 21 mai 2024
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Un : une critique de la société injuste dans laquelle nous vivons, qui veut que selon le numéro que tu tires au départ, tu vas vivre dans ta merde et celle des autres, ou bien jouer au golf et faire des alliances qui te font marrer.
Deux : un regard cynique sur une société spectacle au sein de laquelle les petits acteurs-hamsters que nous sommes vont pouvoir livrer un show qui, éventuellement, sera récompensé.
Trois : un pouvoir invisible et cependant surpuissant.
Quatre : une lutte des classes, et plus généralement des pouvoirs (argent, force, intelligence, séduction).
Cinq : la place de l'émotion, qu'on croit évacuer sous le tapis mais qui dénoue certaines situations.
Six : une violence sud-coréenne, qui tabasse les personnages et au-delà, au rythme d'un crescendo sadique.
Sept : du fake, des pseudos, mais des douleurs, des humiliations.
Huit : la puissance destructrice du fric.
Entrer dans The 8 Show, c'est - comme Cube (2002), de Vincenzo Natali, accepter les règles du jeu, envisager les alliances et les revirements, ne pas chercher l'origine mais plutôt observer les rouages, et se laisser surprendre par des détails. Simple, efficace.
Créée
le 26 mai 2025
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Cette phrase devenu culte du JDG qui s'applique à grand nombre d'oeuvres sud-coréenne depuis quelques temps est particulièrement lassant. Cette série est ringard, ridicule, incohérente et la bonne...
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le 21 mai 2024
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le 27 mai 2024
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